l'Hygiène corporelle dans l'armée allemande

Un soldat qui avait couché avec une russe?

A la douche !

david a écrit:

Un soldat qui avait couché avec une russe?

pour les pattes de cols moi je suis pour , c'est + que probable en juin 40 et ils en avaient toujours en 45!
rot en force!!
ciao
quentin

coupe réglementaire !

coupe et pull réglementaire.

A l'épouillage !

"A tour de rôle, montre en main, les landser se partagent la bain parfumé et mousseux. Deux minutes chacun, le cul dans la mousse. Il ne faut pas abuser ! L'eau deborde et envahit la grande salle ou gesticulent une trentaine de biroutes. On remet de l'eau dans le baquet pour maintenir le niveau. Le manque de lumiere nous empeche de constater que la mousse tant appréciée devient grise à force de crasse. Les poux perissent noyés, de la meme mort odorante vantée par un produit français baptisé "Marie-Rose" "

Le soldat oublié
Guy Sajer

Sur cette photo la chasse aux poux se fait dans une relative bonne humeur. Calamité du soldat sur le front de l'est.
Les poux sont un véritable fléau, laissant des lésions sur le corps du soldat, le privant souvent d'un sommeil réparateur. Un vrai cauchemar pour les blessés qui sont dans des hôpitaux de fortune non loin du front sans possibilité de se laver.

« Le pire, ce sont les poux », disaient les malades. Pendant l'encerclement de Stalingrad, tout épouillage régulier avait cessé. Plus le logis était ignoble, plus le fléau se faisait intolérable. Les hommes valides essayaient de s'en débarrasser dès qu'ils avaient une minute de libre. Chaque fois, rien qu'autour du col, ils tuaient vingt à trente de ces parasites. La peau, sur tout le corps, était criblée de taches rouges, les démangeaisons faisaient disparaître l'ultime bienfait : le sommeil. Les poux ne s'en allaient qu'à l'apparition du Typhus....pour passer sur d'autres. Les malades, beaucoup moins actifs, essayaient vainement de s'en affranchir. Leurs chandails en grouillaient, paraissaient vivre. Ils fourmillaient partout où il y avait de la laine. Quand un homme était sur le point de mourir , le sol devenait gris autour de lui, c'étaient les poux qui l'abandonnaient. Dans les trous des couvertures, on pouvait les puiser comme de la farine. Ils eussent suffi à rendre fous les hommes les plus forts, comment s'étonner que beaucoup fussent pris d'une véritable rage délirante dès qu'on les touchait ? Sans l'infinie patience des gens, ce n'eut été qu'un cri de douleur ou de colère ininterrompu. On parvenait rarement à procurer un moment de répit par une injection de morphine, quelques gorgées de thé et de bonnes paroles.

J'étais médecin à Stalingrad, Hans Dibold

Latrines de campagne

Toilettes sèches !
Latrines de campagne pour ces soldats allemands. Noter la chemise civile sur l'un deux.

Salon de coiffure improvisé !

Italie, septembre 1943. Noter le Jerrycan d'eau marqué par une croix blanche.

Ces soldats allemands se rasent autour de la fontaine. Des lames de rasoir sont en dotation. Les Landsers pouvaient en cas de rupture ou en cas d’impossibilité de s’en procurer à nouveau; les aiguiser à l’aide d’un petit utilitaire en bakélite.

Salle de bain en plein air ! Ces Landsers se baignent dans des baignoires avec en prime de l’eau chaude. Celle-ci est chauffée par le four en pierre.