PANZER MARSCH ! Les Panzertruppen en images.

Le 21 juillet 1941, quatre chars de la 11è Pz Div (Pz Regiment 15) se retrouvent pris à partie par une dizaine de chars soviétiques….
….Sur ordre du Hauptmann Zügner, des obus explosifs sont utilisés contre l’infanterie qui accompagne les chars soviétiques. Très efficaces, ils jettent les fantassins au sol mais il faut maintenant se mesurer aux chars. « Rumms » ! Le « 21 » reçoit son premier impact mais sans dégâts. Cependant, dans le tube du canon, un obus fait long feu. Il faut l’expulser mais il est bloqué. Toutes les tentatives sont vaines. Il faudrait passer de l’autre côté de la voie ferrée et l’expulser par l’avant du tube mais le Leutnant von Renesse ne veut rien savoir : « Nous restons et nous sommes efficaces par notre seule présence. Il nous reste encore nos MG ! » est sa seule réponse. Soudain, le conducteur s’écrie : « Le 2 brûle ! » et il enclenche aussitôt la marche arrière. Schrodeck regarde alors par la fente de vision de la trappe gauche du pointeur et aperçoit le « 1 » en train de recevoir un impact. Le Hauptmann Zügner et son conducteur, l’Unteroffizier Siebert, l’évacuent aussitôt. « ça va être notre tour » pense alors Schrodeck. Il ouvre sa trappe et il est déjà en partie dehors lorsque son panzer recule d’un puis de deux mètres. Il aperçoit son commandant de compagnie qui lui ordonne de reculer. Schrodeck s’apprête à rentrer dans le char mais à ce moment là, un sifflement puis un choc. Il entend à peine la détonation, il est sourd. Des cris retentissent dans le panzer. C’est affreux. Schrodeck saute hors de l’engin et file, cherchant à se mettre à couvert derrière le char. Là, il trouve un des membres de l’équipage, le pourvoyeur. Au même moment, le « 21 » explose et se met à brûler. Il faut partir de là. Le dernier panzer, toujours devant la voie ferrée, le « 24 », tourne et se replie précipitamment. Schrodeck et le pourvoyeur tentent de le rattraper. C’est leur dernière chance de sortir de cet enfer. Les deux hommes crient en direction des membres de l’équipage du char mais leurs voix sont couvertes par le fracas des explosions. Schrodeck et son camarade ont du mal à courir dans les champs de céréales. Soudain, le « 24 » est son tour touché. Il n’a plus de tourelleau. Le pointeur, le pourvoyeur et le radio sont sortis du char et se retrouvent accroupis sur l’étrave du char à l’avant. Ils guident le conducteur, resté seul dans le char sans aucune visibilité. Ce dernier tente de s’éloigner des Russes mètre par mètre. Quant au chef de char, sa tête et son tronc ont été emportés avec le tourelleau. « Si ceux du « 24 » pouvaient nous voir », se répète intérieurement Schrodeck. Mais le « 24 » ne peut s’arrêter. Schrodeck et son camarade finissent par rattraper le char. Ils sont hissés avec difficulté sur le panzer en mouvement par les membres de l’équipage. Le « 24 » continue sa course de l’autre côté de la route, cent mètre, deux cent mètres. Puis soudain, l’orage d’acier cesse « c’est plus qu’un humain peut en supporter » pense Schrodeck…..

Panzers en Ukraine
François de Lannoy

Front de l'Est : passage délicat de ce Panzer IV sur un pont de fortune.

Noter la bande de bras Afrikakorps.

Mai 1940, Maastricht des équipages de Panzer font une pause.

Chenilles de Panzer en stock !

Panther dans la boue russe.

Panzertruppen à l'instruction !

A l'instruction avec des Tigres flambants neufs !

Cours de tactique pour ces équipages de Panzer IV !

Arrivage de Panther neufs par le train. Ces chars Panther sortant d'usine sont de couleur sable. Les ateliers de campagne mettront la dernière touche de camouflage.

Ces fantassins allemands sans doute rassurés par la présence du monstre, observent avec intérêt la manœuvre du Tigre.

Ces Tigres en pleine attaque font le nettoyage du terrain. Ce T 34 en train de flamber en a fait cruellement l'expérience.