Schöne Fraulein, les femmes dans l'armée allemande

Pour les auxiliaires féminines de l'armée de sa majesté voir :

https://leslufteaux.1fr1.net/t2190-auxiliaires-feminines-de-l-armee-britannique#39702

il y a quelques femmes qui font de la reconstit ici :

http://3945-hv.forumactif.com/

http://www.marinettes-et-rochambelles.com/

Pour faire de la parité hommes/femmes je postes les photos d'auxiliaires féminines dans les rubriques le plus adéquates par rapport à leurs fonctions ou situations. Pour éviter des les enfermer dans un ghetto vulgairement machiste

Donc les auxiliaires de la Luftwaffe : Nachrichtenhelferin et Flakhelferin dans le post :

les bombardements sur l'allemagne

Les infirmières dans le post : DRK et les personnels sanitaires de la Wehrmacht

voire certaines dans : incorporation.

Les autres : dans Schöne Fraulein

Tenue civile pour cette auxiliaire féminine de la Wehrmacht à Paris. Une française ?
Noter le brassard "Deutsche Wehrmacht"

Moment de distraction pour ces Blitzmädchen en Grèce portant leurs tenues blanches d'été.

Vu le ton léger du film Blitzmädel an die Front (1958), je postes néanmoins ces auxiliaires de la Luft dans ce post.
Au fait quelqu'un à t-il déjà vu ce film ?

très belle cette blonde

Noter le port de capes pour ces souris grises.

Les souris grises à l'instruction au port de masque à gaz français ?

Auxiliaires féminines à l'entraînement !

humm, pas de baskets pour faire du joging ?
ça m'a l'air pas très aproprié ces talons pour courrir...

Paris sous l'occupation : souris grises devant l'arc du Triomphe.

…..J’avais installé mon PC dans la villa d’un industriel de la Ruhr, au sud d’Essen. La grande ville flambait à l’horizon ; les raids aériens combinés des Alliés la bombardaient sans trêve. Mes compagnies combattaient aux quatre vents : l’une était engagée à la tête de pont de Remagen ; une autre devant Düsseldorf ; une troisième, au nord de la Ruhr, contre les pointes cuirassées des Anglais qui avançaient rapidement vers Brême et Hambourg dans la grande plaine du Nord. On avait placé sous mon commandement une unité de la Flak. Les pièces en étaient servies par des Hitlerjunger et les voitures conduites par des jeunes filles du BDM. Le soir, mes jeunes officiers invitaient les plus jolies à dîner. La cave du propriétaire de la villa était bien garnie. Nos compagnes n’étaient pas loin d’afficher le même goût de la débâcle que nous, et cela les mettait dans les meilleures dispositions vis-à-vis de notre soif d’aventure de dernière minute. Presque tous les jours, leur position était attaquée par des chasseurs-bombardiers. Elles tombaient bravement, comme des soldats. Pourtant, cela faisait drôle de les enterrer comme de vrais soldats…..

Lieutenant de Panzers
August von Kageneck


Flakhelferin à l'instruction sur les batteries de la Flak. (voir les Flakheferin dans le post "bombardements sur l'allemagne")

……Le commandant était assis sur le lit, à ma droite, et me regardait effrayé. « Dès que le bombardement sera terminé les chars russes seront ici, me dit-il. Savez-vous servir des lance-fusées antichars ? Maintenant il s’agit de vendre notre peau le plus cher possible. »
Les mois d’avant, j’avais appris, dans mon service, à me servir d’un revolver, et nous avions dû apprendre aussi le maniement des lance-fusées antichars. Mais je n’avais fait que deux ou trois essais. J’avais horreur du bruit que faisait cette arme. Pendant que je contemplais le tir de barrage, qui faisait frémir le bunker sur ses bases, je me demandais si mes camarades, dans les autres foyers de soldats, avaient réussi à se mettre à l’abri…….

Ma jeunesse au service du nazisme
Melita Maschmann

Citation :

humm, pas de baskets pour faire du joging ?
ça m'a l'air pas très aproprié ces talons pour courrir...

bah, quand elles devront sortir en courant de leurs bureaux pour échapper aux bombardements en tailleurs et talons , ça sera bien qu'elle sache courir vite avec !

Le ministre de l'air à dit que la mère patrie ne serait jamais bombardée...

Nachrichtenhelferinnen du Heer destinées aux transmissions. Elles sont formées à Giessen, à la Heeresschule für Nachrichtenhelferinnen. La formation dure quatre semaines précédée d’une préparation de deux mois dans une équipe d’instruction de l’armée. Le port de la blouse grise (Kittel) est porté durant le service pour épargner le tailleur.