Les bombardements alliés sur l'Allemagne 1940-1945

Oui certaines tours sont encore debout et utilisées par l'armée (Autriche) ou encore transformées en musée, antenne relais, etc..

Pour ce qui est de la promiscuité, c'était difficile car avec des milliers de personnes dans le même abri, la respiration condensation, les bébé qui pleurent sans possibilité de changer leurs langes, les mouvements de foule prises de panique, les disputes entre les gens qui ont perdu leur logement et qui essaient de s'en faire un nouveau dans l'abri et les autres....
Les gens qui se pressent autour des quelques soldats en permission essayant de trouver un sentiment de sécurité, l'oscillation des murs......

Naturellement c'est toujours plus acceptable que de griller vif, mourir asphyxié, écrasé par lés décombres ou encore noyé dans l'eau jetée sur les incendies.....

grand filet de camouflage devant la porte Brandenburg à Berlin.

rapport de la Police de Munich sur un bombardement avec :

l'heure d'alerte, l'heure de commencement du bombardement, sa durée, la météo à ce moment-là, la direction des bombardiers, les types d'appareils, leurs nombres, etc..

Les Flakhelferin participent activement à la défense

Auxiliaire féminine de la Luftwaffe (travaillant dans les bureaux)

Une grande batterie de la Flak pouvait comprendre jusqu'à 70 projecteurs et 160 canons.

Instruction des jeunes Luftwaffenhelfer (auxiliaires de la Luftwaffe)

servants de Flak de plus en plus jeunes....

Dimanche : visite des parents aux jeunes auxiliaires de la Flak !

équipage d'un bombardier américain avant de partir en mission.

A la recherche des survivants ! Dès la fin d'alerte, tout le monde s'y met ! Les soldats en permission, les jeunes, les vieux, les prisonniers...et les pompiers.

D'ailleurs pour eux la tactique de bombardement s'est peaufinée. Une deuxième vague de bombardiers vient 3 heures après. C’est le délai étudié pour tuer le plus grand nombre, c’est à dire achever les survivants et surtout tomber sur les secours, pompiers et ambulances. D’ailleurs les anglais ont mis au point pour eux des bombes antipersonnelles à fragmentation qui explosent à 1,50 m du sol. Décapitant ceux-ci.